mercredi 3 août 2016

L’INFINI...DEAMBULATIONS SENSIBLES... SOUSTRAIRE AU MACVAL












Une action sous la thématique de la SOUSTRATION qui vous propose de construire un parcours dans l’illusion grâce au concept de l’infini.
Ayant comme but agir sur le mental, ce projet essaie de vous amener à réfléchir sur le concept que l'infini, c’est nous et du même, nous sommes à la fois artistes et œuvre d’art. Une ligne à imaginer va être l’outil pour s’approcher à cette notion ou chaque spectateur doit prendre place en assumant l'illusion en elle-même comme soustraction, en remarquant que notre parcours quotidien s’inscrit sur une ligne en permanence, en déterminant que la trace de nos pas, de notre parcours et de notre quotidien est linéaire, illusoire et infini.

Mis en place :
Se déplacer en faisant abstraction de votre entourage où s’ajoute la norme d’éclairage du Musée pour créer un décalage imperceptible.
Deux propositions de parcours vous seront proposées pour l’accomplir, une aux espaces internes





Et un autre dans les espaces externes du Musée.



PI

Un quinquagénaire japonais a affirmé, jeudi 5 août 2010, avoir calculé 5.000 milliards de décimales de la constante mathématique Pi, un record qui demande à être vérifié mais qui, le cas échéant, relèguerait loin la performance presque deux fois moindre d'un Français.
L'ingénieur en informatique Shigeru Kondo, 54 ans, a travaillé en binôme via internet avec un étudiant américain, Alexander Yee. Ce dernier, brillant programmeur, a développé le logiciel pour faire tourner un ordinateur surmonté d'une batterie de disques durs assemblés par le Japonais.
"Avec 5.000 milliards de décimales, nous pensons que nous sommes parvenus à établir un nouveau record", alors que le précédent, détenu par le Français Fabrice Bellard, était supposé être de 2.700 milliards de chiffres après la virgule.
L'objet mathématique Pi, qui se calcule en divisant la circonférence d'un cercle par son diamètre, comporte un nombre de décimales infinies. Même si des passionnés s'évertuent à retenir des centaines ou milliers de chiffres après la virgule, le grand public s'en tient généralement au mieux à 3,1415927.

Le nombre pi est un nombre décimal et irrationnel. En latin, « ratio » signifie compter. Cela veut dire qu’un nombre irrationnel est un nombre que l’on ne peut pas compter et infini.  Le nombre Pi existe depuis 4 000 ans, les mathématiciens arrivent encore à lui trouver quelques mystères. Il est aussi dans d’autre domaine comme la géométrie, l’analyse, les statistiques, la physique, l’algèbre et les probabilités.  Archimède a été le premier savant à avoir calculer le nombre pi. Il est né en 287 av J.C. et mort en 212 av J.C. à Syracuse (Italie, Sicile).  Archimède a utilisé le papyrus Rhind pour faire son premier calcul. Il a écrit en écriture cunéiforme Le Papyrus Rhind.  Le papyrus Rhind est un célèbre papyrus de la deuxième période intermédiaire qui a été écrit par le scribe Ahmès. Son nom vient de l'Écossais Alexander Henry Rhind qui l'acheta en 1858 à Louxor, mais il aurait été découvert sur le site de la ville de Thèbes. Depuis 1865 il est conservé au British Museum (à Londres). Avec le papyrus de Moscou, il est une des sources les plus importantes concernant les mathématiques dans l'Égypte antique.  Plus tard, les arabes poussent plus loin avec les approximations de Pi. L'astronome perse de Samarkand Jemshid al Kashi applique lui aussi la méthode d'Archimède pour calculer une valeur approchée à 14 décimales exactes.  Un indien Srinivasan Ramanuja. Ce jeune génie des nombres est doué d'une intuition fabuleuse et possède une aptitude rare au calcul. Il fait de nombreuses découvertes mais la plupart restent sans démonstration. Il propose des formules permettant d'approcher le nombre pi. Voici une des belles formules découvertes en 1910 par Ramanuja qui permet de calculer 8 décimales de pi à chaque itération.  En 1994, David Chudnovsky et son frère Gregory dépassent Ramanuja en proposant une formule fournissant 14 décimales à chaque itération.  Ensuite, pi apparaît : En Chine vers 1200 av. JC,avec pour valeur 3. Dans la Bible vers 550 av.JC, avec pour valeur 3. En Grèce, avec en particulier Archimède en 250 av.JC En Chine au Vème siècle, avec pour valeur 355/113. En Inde :3 + 177/1250 = 3,1416 en 380 puis 3,16227 (racine carrée de 10) avec Brahma gupta en 640 Au Moyen-Orient avec Al Khwarizmi en 800(Ouzbekistan) et Al Kashi en 1429(Turkestan) qui calcule 14 décimales de pi. En Europe : l’Italien Fibonacci, en 1220, trouve la valeur 3,141818, au Pays-Bas avec Van Ceulen(20 décimales en 1596 puis 34 décimales en 1609 !), en France avec Viète(9 décimales en 1593).
http://trucsmaths.free.fr/nombre_d_or.htm



À ce point-là, il faut se demander qui sont les vrais protagonistes de ce qu'on appelle "art". Grâce aux constats, c'est possible de réfléchir à la possibilité que nous sommes tous artistes puis qu'on est en train de dessiner, peindre, sculpter, graver, danser, représenter, chanter, dans un espace virtuel, dans l'illusion, tout le temps, toute notre vie, le tracé de l'infini.  Avoir à acheter un objet dit œuvre d'art, n'a pas trop de sens à présent, avoir la détermination de suivre le cursus d'une école d'art reste entre parenthèses, il y a trop d'art et trop d'artistes et on se trouve maintenant avec un cumulus d'objets que ne fait que grossir le marché économique.  Reste la sensibilité, le rêve, l'imagination, faire un nettoyage de notre pensée et de notre mental pour pouvoir comprendre que nous sommes dans l'infini ainsi comment lui est en nous.  Souvent, l'art se comprend comme la démonstration de la maitrise d'une technique, pourtant, pendant qu'a la maitrise d'une technique s'arrive grâce à la persévérance dans un acte de volonté, à l'art s'arrive grâce au développement de la perfection interne, celle-là de l'âme que n'ont pas des mètres pour être mesurée, ni des méthodes rationnelles pour être expliqué, bien que l'acte de la création aille plus loin de la matière et de la raison.

L’œuvre d’art c’est nous.


L'art du XXe siècle a été caractérisé pour le désordre et l'insignifiant, pour créer de l'incertitude, de la confusion, pour faire éprouve d'une folie irréversible.  À chaque fois c'est plus difficile de faire la différence entre la génialité et l'imposture; entre ce qui est élégant ou le négligé; entre le transgresseur ou le flatteur; entre l'avant-garde et le traditionnel; entre le sublime et le ridicule.  Le minimalisme, l'art conceptuel, l’appropriationnisme, l'art relationnel, laissent comme témoignage que tout objet qui ne forme pas partie de l'ordre traditionnelle, est un plagiat.  Autant d'artistes nous ont fait et donnent preuve d'une mécontenté vers le mot "art":  Marcel Duchamp, Georg Baselitz, Carl André, Sherrie Levine, Kurl Vitters, Pierre Brassau (celui qui n'a pas existé), Cai Guo Qiang, Frank Gehry, Gaudí, la merde d'artiste de Piero Manzoni, Angela de la Cruz, Vik Muñiz, Doris Salcedo...en fin de compte l'art ne se résume pas sur un objet, l'art et l'être artiste c'est le récit d'une expérience.

Joseph Beuys avait dit : nous sommes tous artistes



A VOUS DE JOUER !!!


MEMOIRE DE L"INFINI




Un compendio impreso de mi investigación, proyectos y experiencias, de la recopilación de citaciones de sabios, literatos, opiniones, pensamientos y entrevistas de quienes quisieron responder, pero también es un libro concebido como una cinta de moebius, enrollado y cerrándose con un plegado en triángulo.  Esa proposición de libro, contiene, ademas de la proporción dorada como todos los libros, la espiral, el circulo, el cubo y el triángulo incluyendo sus derivados, geométrias que contienen todos los elementos (el agua, el viento, el aire, el fuego) la tierra y sus los seres vivientes (humanos, flora y fauna), el espacio y sus planetas.
El libro es blanco y negro ya que ambos contienen todos los colores que no son mas que ilusión humana.
Apenas sera el primero, para mi es un trabajo que no terminaré jamas, y sera infinito en el mismo.  















Primera lectura del infinito