Ligne de recherche Session X Institut de Hautes Etudes en Arts Plastiques Paris
jeudi 4 août 2016
mercredi 3 août 2016
L’INFINI...DEAMBULATIONS SENSIBLES... SOUSTRAIRE AU MACVAL
Une action sous la thématique de la SOUSTRATION qui vous propose de construire un parcours dans l’illusion grâce au concept de l’infini.
Ayant comme but agir sur le mental,
ce projet essaie de vous amener à réfléchir sur le concept que l'infini, c’est
nous et du même, nous sommes à la fois artistes et œuvre d’art. Une ligne à
imaginer va être l’outil pour s’approcher à cette notion ou chaque spectateur
doit prendre place en assumant l'illusion en elle-même comme soustraction, en
remarquant que notre parcours quotidien s’inscrit sur une ligne en permanence,
en déterminant que la trace de nos pas, de notre parcours et de notre quotidien
est linéaire, illusoire et infini.
Mis en place :
Se déplacer en faisant abstraction
de votre entourage où s’ajoute la norme d’éclairage du Musée pour créer un
décalage imperceptible.
Deux propositions de parcours vous seront proposées pour l’accomplir, une aux espaces internes
Et un autre dans les
espaces externes du Musée.
PI
Un quinquagénaire
japonais a affirmé, jeudi 5 août 2010, avoir calculé 5.000 milliards de
décimales de la constante mathématique Pi, un record qui demande à être
vérifié mais qui, le cas échéant, relèguerait loin la performance presque deux
fois moindre d'un Français.
L'ingénieur en
informatique Shigeru Kondo, 54 ans, a travaillé en binôme via internet avec un
étudiant américain, Alexander Yee. Ce dernier, brillant programmeur, a
développé le logiciel pour faire tourner un ordinateur surmonté d'une batterie
de disques durs assemblés par le Japonais.
"Avec 5.000
milliards de décimales, nous pensons que nous sommes parvenus à établir un
nouveau record", alors que le précédent, détenu par le Français
Fabrice Bellard, était supposé être de 2.700 milliards de chiffres après la
virgule.
L'objet
mathématique Pi, qui se calcule en divisant la circonférence d'un cercle par
son diamètre, comporte un nombre de décimales infinies. Même si des
passionnés s'évertuent à retenir des centaines ou milliers de chiffres après la
virgule, le grand public s'en tient généralement au mieux à 3,1415927.
Le nombre pi est un nombre décimal et
irrationnel. En latin, « ratio » signifie compter. Cela veut dire qu’un nombre
irrationnel est un nombre que l’on ne peut pas compter et infini. Le nombre Pi existe depuis 4 000 ans, les
mathématiciens arrivent encore à lui trouver quelques mystères. Il est aussi
dans d’autre domaine comme la géométrie, l’analyse, les statistiques, la
physique, l’algèbre et les probabilités.
Archimède a été le premier savant à avoir calculer le nombre pi. Il est
né en 287 av J.C. et mort en 212 av J.C. à Syracuse (Italie, Sicile). Archimède a utilisé le papyrus Rhind pour
faire son premier calcul. Il a écrit en écriture cunéiforme Le Papyrus
Rhind. Le papyrus Rhind est un célèbre
papyrus de la deuxième période intermédiaire qui a été écrit par le scribe
Ahmès. Son nom vient de l'Écossais Alexander Henry Rhind qui l'acheta en 1858 à
Louxor, mais il aurait été découvert sur le site de la ville de Thèbes. Depuis
1865 il est conservé au British Museum (à Londres). Avec le papyrus de Moscou,
il est une des sources les plus importantes concernant les mathématiques dans
l'Égypte antique. Plus tard, les arabes
poussent plus loin avec les approximations de Pi. L'astronome perse de
Samarkand Jemshid al Kashi applique lui aussi la méthode d'Archimède pour
calculer une valeur approchée à 14 décimales exactes. Un indien Srinivasan Ramanuja. Ce jeune génie
des nombres est doué d'une intuition fabuleuse et possède une aptitude rare au
calcul. Il fait de nombreuses découvertes mais la plupart restent sans
démonstration. Il propose des formules permettant d'approcher le nombre pi.
Voici une des belles formules découvertes en 1910 par Ramanuja qui permet de
calculer 8 décimales de pi à chaque itération.
En 1994, David Chudnovsky et son frère Gregory dépassent Ramanuja en
proposant une formule fournissant 14 décimales à chaque itération. Ensuite, pi apparaît : En Chine vers 1200 av.
JC,avec pour valeur 3. Dans la Bible vers 550 av.JC, avec pour valeur 3. En
Grèce, avec en particulier Archimède en 250 av.JC En Chine au Vème siècle, avec
pour valeur 355/113. En Inde :3 + 177/1250 = 3,1416 en 380 puis 3,16227 (racine
carrée de 10) avec Brahma gupta en 640 Au Moyen-Orient avec Al Khwarizmi en
800(Ouzbekistan) et Al Kashi en 1429(Turkestan) qui calcule 14 décimales de pi.
En Europe : l’Italien Fibonacci, en 1220, trouve la valeur 3,141818, au
Pays-Bas avec Van Ceulen(20 décimales en 1596 puis 34 décimales en 1609 !), en
France avec Viète(9 décimales en 1593).
http://trucsmaths.free.fr/nombre_d_or.htm
À ce point-là, il faut se demander qui sont les vrais
protagonistes de ce qu'on appelle "art". Grâce aux constats, c'est
possible de réfléchir à la possibilité que nous sommes tous artistes puis qu'on
est en train de dessiner, peindre, sculpter, graver, danser, représenter,
chanter, dans un espace virtuel, dans l'illusion, tout le temps, toute notre
vie, le tracé de l'infini. Avoir à
acheter un objet dit œuvre d'art, n'a pas trop de sens à présent, avoir la
détermination de suivre le cursus d'une école d'art reste entre parenthèses, il
y a trop d'art et trop d'artistes et on se trouve maintenant avec un cumulus
d'objets que ne fait que grossir le marché économique. Reste la sensibilité, le rêve, l'imagination,
faire un nettoyage de notre pensée et de notre mental pour pouvoir comprendre
que nous sommes dans l'infini ainsi comment lui est en nous. Souvent, l'art se comprend comme la
démonstration de la maitrise d'une technique, pourtant, pendant qu'a la
maitrise d'une technique s'arrive grâce à la persévérance dans un acte de
volonté, à l'art s'arrive grâce au développement de la perfection interne,
celle-là de l'âme que n'ont pas des mètres pour être mesurée, ni des méthodes
rationnelles pour être expliqué, bien que l'acte de la création aille plus loin
de la matière et de la raison.
L’œuvre
d’art c’est nous.
L'art
du XXe
siècle a été caractérisé pour le désordre et l'insignifiant, pour créer de
l'incertitude, de la confusion, pour faire éprouve d'une folie irréversible. À chaque fois c'est plus difficile de faire la
différence entre la génialité et l'imposture; entre ce qui est élégant ou le négligé; entre le transgresseur ou le flatteur; entre l'avant-garde et le traditionnel; entre le sublime et le ridicule. Le minimalisme, l'art conceptuel, l’appropriationnisme,
l'art relationnel, laissent comme témoignage que tout objet qui ne forme pas
partie de l'ordre traditionnelle, est un plagiat. Autant d'artistes
nous ont fait et donnent preuve d'une mécontenté vers le mot
"art": Marcel Duchamp, Georg Baselitz,
Carl André, Sherrie
Levine, Kurl Vitters, Pierre
Brassau
(celui qui n'a pas existé), Cai Guo Qiang, Frank Gehry, Gaudí, la merde d'artiste de Piero Manzoni, Angela de la Cruz, Vik Muñiz, Doris Salcedo...en fin de compte l'art
ne se résume pas sur un objet, l'art et l'être artiste c'est le
récit d'une expérience.
Joseph Beuys
avait dit : nous sommes tous artistes…
A VOUS DE
JOUER !!!
MEMOIRE DE L"INFINI
Un compendio impreso de mi investigación, proyectos y experiencias, de la recopilación de citaciones de sabios, literatos, opiniones, pensamientos y entrevistas de quienes quisieron responder, pero también es un libro concebido como una cinta de moebius, enrollado y cerrándose con un plegado en triángulo. Esa proposición de libro, contiene, ademas de la proporción dorada como todos los libros, la espiral, el circulo, el cubo y el triángulo incluyendo sus derivados, geométrias que contienen todos los elementos (el agua, el viento, el aire, el fuego) la tierra y sus los seres vivientes (humanos, flora y fauna), el espacio y sus planetas.
El libro es blanco y negro ya que ambos contienen todos los colores que no son mas que ilusión humana.
Apenas sera el primero, para mi es un trabajo que no terminaré jamas, y sera infinito en el mismo.
Primera lectura del infinito
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