Pourquoi dans le MAC VAL ?
Mettre en parallèle la routine de vie et l’activité dans cette institution
:
En prenant la ligne comme élément de référence, on peut trouver que
l’évolution, le développement, et la transformation de celle-ci est présente à
l‘infini.
-Sa conception architecturale est basée sur l'horizontalité et la fluidité
du transit, comme infini en lui-même.
-Dans la plupart de ses espaces, on remarque la ligne.
-Son propos d'intégration et communication urbaine et sociale évoque la
ligne aussi.
-Il est un élément urbain conçu spécialement pour sa fonction à différence
des autres bâtiments déjà existants adaptés à telle fin.
L’illusion en soi est une soustraction, soustraction du réel. S’ouvrir à cette idée n’est pas une évidence,
et pourtant notre parcours quotidien s’inscrit constamment sur une ligne, une
ligne invisible.
Le Mac/Val, vu et compris comme des volumes, si l’on se les imagine déployés, s’inscrit dans une ligne. La répétition de la ligne dans l’ensemble de ses espaces, et la détermination que les traces de nos pas, notre parcours, notre quotidien, est linéaire, illusoire, infini.
Le Mac/Val, vu et compris comme des volumes, si l’on se les imagine déployés, s’inscrit dans une ligne. La répétition de la ligne dans l’ensemble de ses espaces, et la détermination que les traces de nos pas, notre parcours, notre quotidien, est linéaire, illusoire, infini.
Puisque nous ne pouvons percevoir que ce qui est fini, ce projet cherche à
impliquer les personnes de façon à déclencher entre tous une ligne imaginaire
de mouvement continu, une action infinie, qui enveloppera de forme virtuelle
les espaces transités. Salutations,
bises, embrassades, regards, attirer l'attention, se réunir, dire au revoir, se
disputer, accomplir ses fonctions, partager, échanger, se déplacer seul ou en
groupe, etc. Tout ceci implique le tracé
d’une ligne qui va se bâtir entre les uns et les autres.
Fondements de cette idée…la ligne.
La vie qui tourne cycliquement en marquant l’horizontalité, la verticalité,
les diagonales et les courbes en mouvement continu.
Dans chaque jour à jour existe la routine :
-Il commence à faire jour (mouvement du soleil qu’à notre échelle se décrit
en ligne ascendante)
-Se réveiller (nous sommes fondus avec l'horizon)
-Se lever (le triangle dans la position assise suivi de la verticale et la
perpendicularité avec le sol)
-Se déplacer dans un espace intérieur (au moment de marcher il se dessine
une ligne)
-Se laver et s'habiller (nous sommes à la verticale)
-Se nourrir (à nouveau le triangle)
-Se déplacer dans un espace extérieur (intégration avec les éléments
naturels qui conforment des lignes horizontales comme l'air, l'eau et lignes verticales comme la pluie, la
neige)
-Se communiquer, échange avec des personnes (mouvement en horizontalité)
-Travailler (implique le mouvement dans toutes directions)
-Pensée et réflexion (mouvement à l'infini)
-Il commence à faire nuit (mouvement vertical descendant)
-Repos (horizontalité)